Holarrhena pubescens is a shrub or a small tree reaching about ten meters high with an abundant white latex in all its parts. Its leaves are opposite, simple and whole; their shape is oval, sometimes almost circular. Its regular and perfumed flowers form bunches at the end of the branch or at the axis of the stems; they have five white petals, spread out or slightly curved which prolong the fine cylinder of the pale yellow corolla; the calyx itself is furnished with a fine down which induces the scientific name ” pubescens “. The dehiscent fruit, thin as a pencil, is composed of two follicles about thirty cm long. It is filled with numerous seeds covered with a dense tuft of hairs.
Tone mouk gnaè loses its leaves at the beginning of the dry season, they will reappear, with the flowers, from March. This pioneer species quickly invades open spaces and resists well to drought and even fires since new shoots are reborn from burnt stumps.
The main interest of tone mouk gnaè lies in its value as a medicinal plant; it has long been named Holarrhena antidysenterica, which says all about its curative properties. In Laos, it is the bark and seeds, in decoction, which is used against intestinal disorders. The latex would also have a vulnerary and astringent action.
In India Holarrhena pubescens is a very important medicinal plant; it is called in Bengali language kurchi, a name which is used in international trade. It is used against diarrhoea, of course, but also against all skin diseases; the recipe is particular since the bark is crushed in cow’s urine before being applied to the diseased parts; it is also in cow’s milk that the bark is macerated in case of intestinal disorders.
Pharmaceutical laboratories have studied this plant: “different extracts of seed or bark have shown antibacterial and antifungal activity against all kinds of human pathogens, including several antibiotic-resistant strains”, even the famous staphylococcus aureus would not resist it. It is to the point that extracts of Holarrhena pubescens are sometimes falsified with those of tone mouk (wrightia arborea) which do not have the same properties.
We believe that tone mouk gnaè is not well known in Laos; it reproduces and grows easily, its white and perfumed flowers can compete with the most beautiful ones and it is enough to prune it well to give the tree an elegant port which would advantage decorate our gardens.
Holarrhena pubescens est un arbuste ou un petit arbre atteignant une dizaine de mètres de haut avec un abondant latex blanc dans toutes ses parties. Ses feuilles sont opposées, simples et entières ; leur forme est ovale, parfois presque circulaire. Ses fleurs régulières et parfumées forment des bouquets en bout de branche ou à l’axe des tiges ; elles ont cinq pétales blancs, étalés ou légèrement recourbés qui prolongent le cylindre fin de la corolle jaune pâle ; le calice lui-même est garni d’un fin duvet qui induit le nom scientifique « pubescens ». Le fruit déhiscent, mince comme un crayon, est composé de deux follicules longs d’une trentaine de cm. il est rempli de nombreuses graines garnies d’une touffe dense de poils.
Tone mouk gnaè perd ses feuilles en début de saison sèche, elles réapparaîtront, avec les fleurs, dès le mois de mars. Cette espèce pionnière qui envahit rapidement les espaces ouverts, résiste bien à la sécheresse et même aux incendies puisque de nouvelles pousses renaissent des souches calcinées.
L’intérêt principal de tone mouk gnaè réside dans sa valeur comme plante médicinale ; il a longtemps était nommé Holarrhena antidysenterica, c’est tout dire de ses propriétés curatives. Au Laos, ce sont écorce et graines, en décoction, qui sont employées contre les troubles intestinaux. Le latex aurait aussi une action vulnéraire et astringente.
En Inde, Holarrhena pubescens est une très importante plante médicinale ; on la nomme en langue bengali kurchi, nom qui est utilisé dans le commerce international. Elle est employée contre la diarrhée, bien sûr, mais aussi contre toutes les maladies de peau ; la recette est particulière puisque l’on écrase l’écorce dans de l’urine de vache avant d’en badigeonner les parties malades ; c’est d’ailleurs aussi dans du lait de vache que l’on fait macérer l’écorce en cas de troubles intestinaux.
Les laboratoires pharmaceutiques ont étudié cette plante : « différents extraits de graine ou d’écorce ont montré une activité antibactérienne et antifongique contre toute sortes d’agents pathogènes humains, y compris plusieurs souches résistantes aux antibiotiques », même le fameux staphylocoque doré n’y résisterait pas. C’est au point que des extraits de Holarrhena pubescens sont parfois falsifiés avec ceux de tone mouk (wrightia arborea) qui n’a pas les mêmes propriétés.
Nous croyons, quant à nous, que tone mouk gnaè est un peu méconnu au Laos ; il se reproduit et il pousse facilement, ses fleurs blanches et parfumées peuvent rivaliser avec les plus belles et il suffit de bien le tailler pour donner à l’arbre un port élégant qui ornerait avantageusement nos jardins.
Holarrhena pubescens is a shrub or a small tree reaching about ten meters high with an abundant white latex in all its parts. Its leaves are opposite, simple and whole; their shape is oval, sometimes almost circular. Its regular and perfumed flowers form bunches at the end of the branch or at the axis of the stems; they have five white petals, spread out or slightly curved which prolong the fine cylinder of the pale yellow corolla; the calyx itself is furnished with a fine down which induces the scientific name ” pubescens “. The dehiscent fruit, thin as a pencil, is composed of two follicles about thirty cm long. It is filled with numerous seeds covered with a dense tuft of hairs.
Tone mouk gnaè loses its leaves at the beginning of the dry season, they will reappear, with the flowers, from March. This pioneer species quickly invades open spaces and resists well to drought and even fires since new shoots are reborn from burnt stumps.
The main interest of tone mouk gnaè lies in its value as a medicinal plant; it has long been named Holarrhena antidysenterica, which says all about its curative properties. In Laos, it is the bark and seeds, in decoction, which is used against intestinal disorders. The latex would also have a vulnerary and astringent action.
In India Holarrhena pubescens is a very important medicinal plant; it is called in Bengali language kurchi, a name which is used in international trade. It is used against diarrhoea, of course, but also against all skin diseases; the recipe is particular since the bark is crushed in cow’s urine before being applied to the diseased parts; it is also in cow’s milk that the bark is macerated in case of intestinal disorders.
Pharmaceutical laboratories have studied this plant: “different extracts of seed or bark have shown antibacterial and antifungal activity against all kinds of human pathogens, including several antibiotic-resistant strains”, even the famous staphylococcus aureus would not resist it. It is to the point that extracts of Holarrhena pubescens are sometimes falsified with those of tone mouk (wrightia arborea) which do not have the same properties.
We believe that tone mouk gnaè is not well known in Laos; it reproduces and grows easily, its white and perfumed flowers can compete with the most beautiful ones and it is enough to prune it well to give the tree an elegant port which would advantage decorate our gardens.
Holarrhena pubescens est un arbuste ou un petit arbre atteignant une dizaine de mètres de haut avec un abondant latex blanc dans toutes ses parties. Ses feuilles sont opposées, simples et entières ; leur forme est ovale, parfois presque circulaire. Ses fleurs régulières et parfumées forment des bouquets en bout de branche ou à l’axe des tiges ; elles ont cinq pétales blancs, étalés ou légèrement recourbés qui prolongent le cylindre fin de la corolle jaune pâle ; le calice lui-même est garni d’un fin duvet qui induit le nom scientifique « pubescens ». Le fruit déhiscent, mince comme un crayon, est composé de deux follicules longs d’une trentaine de cm. il est rempli de nombreuses graines garnies d’une touffe dense de poils.
Tone mouk gnaè perd ses feuilles en début de saison sèche, elles réapparaîtront, avec les fleurs, dès le mois de mars. Cette espèce pionnière qui envahit rapidement les espaces ouverts, résiste bien à la sécheresse et même aux incendies puisque de nouvelles pousses renaissent des souches calcinées.
L’intérêt principal de tone mouk gnaè réside dans sa valeur comme plante médicinale ; il a longtemps était nommé Holarrhena antidysenterica, c’est tout dire de ses propriétés curatives. Au Laos, ce sont écorce et graines, en décoction, qui sont employées contre les troubles intestinaux. Le latex aurait aussi une action vulnéraire et astringente.
En Inde, Holarrhena pubescens est une très importante plante médicinale ; on la nomme en langue bengali kurchi, nom qui est utilisé dans le commerce international. Elle est employée contre la diarrhée, bien sûr, mais aussi contre toutes les maladies de peau ; la recette est particulière puisque l’on écrase l’écorce dans de l’urine de vache avant d’en badigeonner les parties malades ; c’est d’ailleurs aussi dans du lait de vache que l’on fait macérer l’écorce en cas de troubles intestinaux.
Les laboratoires pharmaceutiques ont étudié cette plante : « différents extraits de graine ou d’écorce ont montré une activité antibactérienne et antifongique contre toute sortes d’agents pathogènes humains, y compris plusieurs souches résistantes aux antibiotiques », même le fameux staphylocoque doré n’y résisterait pas. C’est au point que des extraits de Holarrhena pubescens sont parfois falsifiés avec ceux de tone mouk (wrightia arborea) qui n’a pas les mêmes propriétés.
Nous croyons, quant à nous, que tone mouk gnaè est un peu méconnu au Laos ; il se reproduit et il pousse facilement, ses fleurs blanches et parfumées peuvent rivaliser avec les plus belles et il suffit de bien le tailler pour donner à l’arbre un port élégant qui ornerait avantageusement nos jardins.
Holarrhena pubescens is a shrub or a small tree reaching about ten meters high with an abundant white latex in all its parts. Its leaves are opposite, simple and whole; their shape is oval, sometimes almost circular. Its regular and perfumed flowers form bunches at the end of the branch or at the axis of the stems; they have five white petals, spread out or slightly curved which prolong the fine cylinder of the pale yellow corolla; the calyx itself is furnished with a fine down which induces the scientific name ” pubescens “. The dehiscent fruit, thin as a pencil, is composed of two follicles about thirty cm long. It is filled with numerous seeds covered with a dense tuft of hairs.
Tone mouk gnaè loses its leaves at the beginning of the dry season, they will reappear, with the flowers, from March. This pioneer species quickly invades open spaces and resists well to drought and even fires since new shoots are reborn from burnt stumps.
The main interest of tone mouk gnaè lies in its value as a medicinal plant; it has long been named Holarrhena antidysenterica, which says all about its curative properties. In Laos, it is the bark and seeds, in decoction, which is used against intestinal disorders. The latex would also have a vulnerary and astringent action.
In India Holarrhena pubescens is a very important medicinal plant; it is called in Bengali language kurchi, a name which is used in international trade. It is used against diarrhoea, of course, but also against all skin diseases; the recipe is particular since the bark is crushed in cow’s urine before being applied to the diseased parts; it is also in cow’s milk that the bark is macerated in case of intestinal disorders.
Pharmaceutical laboratories have studied this plant: “different extracts of seed or bark have shown antibacterial and antifungal activity against all kinds of human pathogens, including several antibiotic-resistant strains”, even the famous staphylococcus aureus would not resist it. It is to the point that extracts of Holarrhena pubescens are sometimes falsified with those of tone mouk (wrightia arborea) which do not have the same properties.
We believe that tone mouk gnaè is not well known in Laos; it reproduces and grows easily, its white and perfumed flowers can compete with the most beautiful ones and it is enough to prune it well to give the tree an elegant port which would advantage decorate our gardens.
Holarrhena pubescens est un arbuste ou un petit arbre atteignant une dizaine de mètres de haut avec un abondant latex blanc dans toutes ses parties. Ses feuilles sont opposées, simples et entières ; leur forme est ovale, parfois presque circulaire. Ses fleurs régulières et parfumées forment des bouquets en bout de branche ou à l’axe des tiges ; elles ont cinq pétales blancs, étalés ou légèrement recourbés qui prolongent le cylindre fin de la corolle jaune pâle ; le calice lui-même est garni d’un fin duvet qui induit le nom scientifique « pubescens ». Le fruit déhiscent, mince comme un crayon, est composé de deux follicules longs d’une trentaine de cm. il est rempli de nombreuses graines garnies d’une touffe dense de poils.
Tone mouk gnaè perd ses feuilles en début de saison sèche, elles réapparaîtront, avec les fleurs, dès le mois de mars. Cette espèce pionnière qui envahit rapidement les espaces ouverts, résiste bien à la sécheresse et même aux incendies puisque de nouvelles pousses renaissent des souches calcinées.
L’intérêt principal de tone mouk gnaè réside dans sa valeur comme plante médicinale ; il a longtemps était nommé Holarrhena antidysenterica, c’est tout dire de ses propriétés curatives. Au Laos, ce sont écorce et graines, en décoction, qui sont employées contre les troubles intestinaux. Le latex aurait aussi une action vulnéraire et astringente.
En Inde, Holarrhena pubescens est une très importante plante médicinale ; on la nomme en langue bengali kurchi, nom qui est utilisé dans le commerce international. Elle est employée contre la diarrhée, bien sûr, mais aussi contre toutes les maladies de peau ; la recette est particulière puisque l’on écrase l’écorce dans de l’urine de vache avant d’en badigeonner les parties malades ; c’est d’ailleurs aussi dans du lait de vache que l’on fait macérer l’écorce en cas de troubles intestinaux.
Les laboratoires pharmaceutiques ont étudié cette plante : « différents extraits de graine ou d’écorce ont montré une activité antibactérienne et antifongique contre toute sortes d’agents pathogènes humains, y compris plusieurs souches résistantes aux antibiotiques », même le fameux staphylocoque doré n’y résisterait pas. C’est au point que des extraits de Holarrhena pubescens sont parfois falsifiés avec ceux de tone mouk (wrightia arborea) qui n’a pas les mêmes propriétés.
Nous croyons, quant à nous, que tone mouk gnaè est un peu méconnu au Laos ; il se reproduit et il pousse facilement, ses fleurs blanches et parfumées peuvent rivaliser avec les plus belles et il suffit de bien le tailler pour donner à l’arbre un port élégant qui ornerait avantageusement nos jardins.